La rapporteuse

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Hôtel : Crillon de joie !

Crillon Hotel Saison 1, épisode 4 de la conquête des hôtels de luxe parisiens

Previously on larapporteuse.fr : l'Hôtel Raphaël, l'Interconti(nental), le Bristol...

Ma copine Laure et moi sommes devenues des poules de luxe.
On a carrément pris goût à la vie de palace.

Notre dernière descente : Le Crillon.

Sortie du métro. Je cherche des yeux l'hôtel. Et je tombe sur une bâche monumentale reproduisant la façade du Crillon en trompe-l'œil.

Cause toujours, tu m'intéresses...

Joël Thiébault, Top Maraîcher !

Carottes de Joël Thiébault Tu te souviens de Pierre Cheucle ? T'sais le mari cuisinier de ma collègue Cloé. Depuis décembre 2010, il n'est plus second chez Chaumette mais chef chez Brigitte.

Il se procure ses légumes auprès de Joël Thiébault qui est également le fournisseur officiel (source : le bel article de Patricia Wells dans The New York Times) de William Ledeuil, chef de Ze Kitchen Galerie (qui, paraît-il, raffole de ses fleurs de courgette), Pierre Gagnaire et son restaurant éponyme, Michel Troisgros de La Table du Lancaster...

Ses beaux légumes, Joël Thiébault ne les vend pas qu'aux grands chefs de Paris... il les vend aussi à toi et moi.

Cause toujours, tu m'intéresses...

Le Café suédois

Le Café suédois Quand culture rime avec nourriture - épisode 2.
Il y a quelque temps, je t'ai démontré par A + B ÷ Z cosinus Y que culture pouvait rimer avec nourriture (Merci le Goethe Institut !).
J'ai décidé de te le prouver derechef.

Car vois-tu, le pays d'IKEA a également son centre culturel : l'Institut suédois à Paris. FYI (à prononcer "effouailleaïe"), c'est l'unique centre culturel que possède la Suède à l'étranger. Cocorico !

À l'époque où j'étais "journaliste", j'ai fait la connaissance de Gunilla Norén, chargée des relations presse de l'Institut suédois.

Cause toujours, tu m'intéresses...

Hôtel Bristol

Bristol Après mon post sur l'Interconti(nental) et notamment le commentaire de Si Wai, le Bristol est devenu notre nouvelle target à ma copine Laure et moi.
Les pintades à Paris - épisode 3.

Arrivée sur place : samedi, 10h tapantes. Plantes grimpantes et cyclamens ornent les fenêtres de l'hôtel. Devant les portes : "vigiles" de luxe. Nous sommes accueillies par un régiment de voituriers et de portiers. Un groom tout sourire pousse la porte tournante et tadaaaaaam, nous voilà de l'autre côté. Cette fois, Laure et moi sommes sur un pied d'égalité : rendez-vous en terre inconnue pour toutes les deux.

Cause toujours, tu m'intéresses...

Théâtre : How to become parisian in one hour?

How to become parisian - Olivier Giraud Métro, boulot, dodo. Parisien, tête de chien. Parigot, tête de veau.
Les expressions fusent quand il s’agit de décrire le Parisien ou son mode de vie.
C’est parce qu’il le vaut bien !

Cause toujours, tu m'intéresses...

Restaurant taïwanais : 37 m²

37m² Grand studio (37 m²), au rez-de-chaussée d'un ancien immeuble parisien, offrant une spacieuse et lumineuse pièce à vivre avec coin Bubble Tea.
À 5 minutes du quartier de Montmartre et de la rue des Martyrs.
Refait entièrement à neuf (février 2010), meublé avec goût.
Proche transports et commerces.
Fort potentiel.
Belles prestations.
Idéal pour les gourmands.
À ne pas rater (foi de Stéphane Plaza) !!!
Rassure-toi, je ne me suis pas reconvertie dans les annonces immobilières.

Cause toujours, tu m'intéresses...

Hôtel : Intercontinental - Le Grand Hôtel

Hôtel Intercontinental Le Grand Hôtel Paris J'espère que tu as survécu aux repas de Noël, à la programmation télé durant les fêtes (tâche ardue que de choisir entre les téléfilms niais ou catastrophe, ou pire, les grands bêtisiers de l'année) et à ta grosse cuite du Nouvel an.
Welcome to 2011 !

Je souhaite amour, gloire et beauté aux moches et amour, gloire et santé aux beaux !

Et quoi de mieux que de commencer l'année avec un bon chocolat chaud ?

Cause toujours, tu m'intéresses...

Restaurant : Comptoir de la gastronomie

Comptoir de la gastronomie Avant de devenir banlieusarde - ouaiche, ouaiche -, j'ai habité, pendant cinq ans, la rue Tiquetonne. Souvenirs, souvenirs...
À l'époque, je passais souvent devant un petit restau, rue Montmartre.
Le truc, quand on repère un spot et qu'on habite dans le coin, c'est qu'on se dit qu'on aura forcément l'occasion d'y aller un jour... sauf qu'évidemment, j'ai déménagé avant que ce jour n'arrive.

Mais (fond sonore : générique des Feux de l'amour)... je ne t'ai jamais oublié, toi, le Comptoir de la gastronomie.

Et franchement, tu es carrément à la hauteur de ces longues années d'attente.

Cause toujours, tu m'intéresses...