La rapporteuse

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Le cimetière des chiens

Cimetiere_des_chiens_Paris_Asnieres_Larapporteuse__1_.JPG
Dans ma vie professionnelle, j'ai toujours bossé dans Paris intramuros ou en bordure : rue Séguier dans le 6ème, rue Galilée dans le 16ème et avenue Charles de Gaulle à (Neu-)Neuilly-sur-Seine.
Depuis septembre, je bosse pour Cuisineactuelle.fr à Gennevilliers.
J'ai découvert les fabuleux moments de grâce de la ligne 13 et... le cimetière des chiens à Asnières-sur-Seine, la ville voisine.

Cause toujours, tu m'intéresses...

AFAC, la confrérie secrète

AFAC_Paris_Gare_est_larapporteuse.jpg AFAC. Mais qu'est-ce qu'il peut bien se cacher derrière ce mystérieux acronyme ?
Un lieu pas banal, loin du train-train quotidien...

Tchou, tchou, le petit train.
L'AFAC, mékéskecé ? C'est l'Association française des amis des chemins de fer. Une sorte de confrérie des passionnés de la loco. Et oui m'sieur, dame, ça existe !
À association improbable, lieu improbable.
Direction les sous-sols de la gare de l'Est.

Cause toujours, tu m'intéresses...

Boutique : Deyrolle

Boutique_Deyrolle_Paris_larapporteuse.jpg Où peux-tu trouver, dans Paris intramuros, un ours polaire, des papillons tropicaux, un cerf, un éléphant, un chamois et toute l’équipe du Livre de la Jungle en train de mâter une émission de télévision ?

Le zoo de Vincennes ? Négatif. Et pis Vincennes, c'est pas Paris !

La ménagerie du Jardin des Plantes ? Nein, tu refroidis.

Réponse : à la boutique Deyrolle.

J’aurais pt'être dû te préciser qu’ils étaient morts et que le chamois était déguisé en jardinier…

Cause toujours, tu m'intéresses...

Théâtre : How to become parisian in one hour?

How to become parisian - Olivier Giraud Métro, boulot, dodo. Parisien, tête de chien. Parigot, tête de veau.
Les expressions fusent quand il s’agit de décrire le Parisien ou son mode de vie.
C’est parce qu’il le vaut bien !

Cause toujours, tu m'intéresses...

Souriez, vous êtes photographiés !

La Joyeuse de Photographie En rentrant d'une soirée avec le rapporteur, nous passons devant le Palais de Tokyo. Soudain, j'ai un (dé)clic ! Et si on allait se faire tirer le portrait ?

Au Palais de Tokyo, il y a un vieux photomaton qui propose 4 poses en noir et blanc pour la modique somme de 2 €.
Cette machine m'a rabibochée avec les photomatons que je n'utilise guère plus que pour les photos administratives. Tu sais, celles sur lesquelles tu dois tirer la tronche réglementaire, que tu traînes dix ans sur ton passeport et ta carte d'identité ou, pire, toute la vie sur ton permis et qui te valent parfois railleries et moqueries.

Cause toujours, tu m'intéresses...